Prévenir les blocages, les symptômes, la douleur…
La chiropraxie aide chacun à mieux s’adapter à des conditions de stress (familiales, professionnelles, personnelles…). Elle permet de libérer à un niveau physique les retentissements de tensions psychiques ! Le sommeil s’améliore, la nervosité diminue, le corps retrouve sa souplesse…
Chez la femme enceinte, une bonne mobilité du bassin favorise l’accouchement. Un suivi régulier prévient les troubles liés à la modification du centre de gravité (lombalgies, sciatiques, cruralgies, névralgies intercostales…).ainsi que les troubles digestifs des premiers ou derniers mois (reflux gastro œsophagien, constipation…).
Chez l’enfant la chiropraxie permet d’accompagner les grandes étapes de la croissance. Les déviations de la colonne vertébrale (scolioses fonctionnelles, hypercyphoses, hyperlordose) peuvent être évitées avant l’âge de 4 ans et améliorées ensuite ! De manière générale, les enfants se plaignent peu de douleurs de dos (leur corps compense les blocages). Néanmoins, certains blocages peuvent devenir chroniques et favoriser une usure articulaire a l’âge adulte. La chiropraxie peut aussi prévenir certains troubles hyperactifs ou difficultés d’apprentissage, l’énurésie, les problèmes de mâchoires en agissant sur la mobilité crânienne et sur les réflexes crâniens. Vérifions la santé neuro vertébrale, crânienne et viscérale de nos enfants pour les aider à grandir sereinement !
Chez les personnes âgées, la chiropraxie améliore la mobilité et diminue les douleurs. Ces douleurs surviennent lorsqu’une ou plusieurs articulations s’usent. Les mobilisations articulaires retardent l’apparition de l’arthrose et en diminuent les symptômes. Quant à l’ostéoporose (diminution de la densité osseuse liée à l’âge), elle sera ralentie par un travail musculaire et une nutrition adaptée. La chiropraxie propose des techniques douces, parfaitement adaptées aux séniors ! Avançons en âge plus sereinement !
La naissance est une épreuve importante pour le nouveau né ! Elle impose des contraintes majeures aux articulations, aux sutures crâniennes, aux muscles et au système nerveux du nourrisson. Un contrôle chiropractique des les premières semaines de la vie permet de prévenir une asymétrie du crâne (surtout après utilisation de ventouse ou forces), un torticolis, des coliques, des reflux gastro œsophagiens, une scoliose… La pédiatrie chiropratique est douce, respectueuse et agréable pour le nouveau né.
A l’adolescence, période de grands changements physiques, émotionnels et sociaux, le développement musculaire et osseux subit de nombreux stress. C’est une période de croissance rapide durant laquelle l’os n’a pas acquis sa solidité définitive. La consultation préventive d’un chiropraticien chez les jeunes peut faciliter le passage du corps de l’adolescent à celui de l’adulte.
Chez les sportifs, une bonne mobilité neuro articulaire diminue le risque de blessures, permet une meilleure récupération à l’effort, et optimise les performances.
Guérir les maux du corps !
Il s’agit d’une douleur « algie » du bas du dos ou de la région lombaire « lomb ». Les lombalgies communes (liées à des troubles neuro musculo squelettiques) touchent 50% de la population à un moment donné de leur vie et constituent la première cause d’arrêt de travail en France.
La douleur se situe dans la région lombaire centrale ou d’un seul coté et peut se propager dans les fesses. Elle survient brutalement lors d’un effort (lumbago) ou s’installe progressivement et dure dans le temps (lombalgie chronique).
Elle peut être liée à une atteinte du disque intervertébral, à un blocage mécanique des vertèbres lombaires (subluxation), à une arthrose lombaire, à l’irradiation d’un problème rénal, gynécologique ou intestinal fonctionnel…
Les traitements médicaux proposés actuellement sont les antalgiques, les myorelaxants et les anti-inflammatoires. Le travail du chiropracteur consiste à identifier la/les cause(s) de la douleur.
Après un examen approfondit, il restaure une harmonie au sein des articulations, libère les viscères et les réflexes en relation, l’irritation nerveuse peut alors se dissiper et les contractures musculaires se relâcher. Plus rarement, la lombalgie est reliée à une pathologie sous-jacente (lombalgie symptomatique). Dans ce cas, le chiropracteur saura par son expertise, vous référer vers un professionnel de santé approprié.
Dans le cas des lombalgies communes, le traitement chiropractique se révèle être l’un des plus efficace, il remonte à la source du problème et constitue une bonne alternative aux médicaments.
La compression ou l’irritation du nerf sciatique sont à l’origine de douleurs, fourmillements et/ou perte de sensibilité sur le trajet du nerf sciatique (de la fesse jusqu’au pied, à l’arrière ou sur le coté de la jambe).
Ce nerf provient des racines nerveuses (L5S1) qui émergent de la colonne vertébrale dans la région lombo-sacrée. La sciatique peut être liée à un problème discal (hernie ou protrusion), à un blocage du bas des lombaires ou du sacrum (subluxation), à une contracture du muscle pyramidal du bassin... Une modification du centre de gravité pendant la grossesse ou une prise de poids importante peuvent favoriser l’apparition d’une sciatique…
Dans de rares cas de hernies volumineuses et mal placées, occasionnant des troubles neurologiques irréversibles, la chirurgie est inévitable.
Dans tous les autres cas, la chiropraxie est efficace :
- L’ajustement vertébral permet un déblocage mécanique des vertèbres et une libération du nerf sciatique.
- La technique sacro occipitale associée a la kinésiologie permet un soulagement de la sciatique et rééquilibre le corps en douceur.
Cette condition résulte d’une atteinte du nerf crural (nerf fémoral). Ce nerf provient des racines nerveuses (L2, L3 et L4) qui émergent de la conne vertébrale dans la région lombaire. Ainsi, la cruralgie se définit par une douleur (algie) et/ou fourmillement voir diminution de la sensibilité et/ou de la force musculaire, pouvant affecter l’avant de la cuisse et/ou la face interne de la jambe et du pied.
Parfois la douleur prend la forme d’une décharge électrique. Typiquement, la cruralgie touche les personnes de plus de 50 ans. Les symptômes sont éveillés ou aggravés par l’effort ou lors d’une augmentation de la pression intra-abdominale (ex. toux, éternuement, défécation).
La cause la plus fréquente est l’irritation d’une des racines nerveuses contribuant au nerf crural, par une atteinte articulaire (blocage, subluxation) ou discale (protrusion, hernie). La chiropraxie rétablit une bonne mécanique articulaire des vertèbres lombaires et du bassin, restaure un bon équilibre des muscles en relation, et libère le nerf crural.
La dorsalgie désigne les maux de la région dorsale (ou thoracique) qui s’étend de la base du cou jusqu’à la taille. Elle est le plus souvent liée à des blocages articulaires au niveau des vertèbres dorsales ou des articulations costo-vertébrales, mais peut dans certains cas signaler un trouble organique.
On peut diviser la région dorsale en trois zones : supérieure, médiane et inférieure. La zone supérieure est à l’origine des muscles cervicaux. Ainsi, les mouvements du cou peuvent exacerber la dorsalgie et les douleurs peuvent se propager dans les épaules. La zone médiane se situe entre les omoplates. La dorsalgie est souvent causée par un blocage costo-vertébral (entre la côte et a vertèbre) .La douleur est localisée entre l’omoplate et la colonne vertébrale et peut se projeter devant jusqu’au sternum. La dorsalgie inférieure est fréquente du fait de la fragilité de la charnière dorso lombaire. L’origine du diaphragme (muscle impliqué dans la respiration) se situe à ce niveau. Ainsi, une dysfonction dorsale inférieure peut gêner la respiration.
Lorsque la dorsalgie est installée depuis longtemps, une sensation de raideur de toute la colonne dorsale est possible. La dorsalgie peut être très intense, se projeter en avant, et mimer un infarctus ! C’est une douleur anxiogène. Chaque nerf issu de la colonne dorsale va se distribuer dans le corps afin de contrôler les battements du cœur, la fonction rénale, la respiration, la digestion…Si le nerf est gêné à sa source par un blocage, les organes qui en dépendent peuvent générer des troubles fonctionnels (reflux gastro-œsophagien, difficulté respiratoire…)
La prise en charge chiropratique consiste a :
-résoudre les blocages (ou subluxations)
-détendre les muscles affectés
-libérer les viscères et les réflexes en relation
Conséquence de la dorsalgie moyenne, la névralgie intercostale est une douleur le long du nerf qui émerge entre les vertèbres pour courir le long d’une côte vers l’avant. La douleur est d’intensité variable. Elle peut aller d’une simple gène à une douleur fulgurante.
Une sensation d’oppression peut accompagner la douleur, et mimer une crise d’angoisse ou une douleur d’origine cardiaque. La névralgie est exacerbée par le mouvement, la toux ou la respiration. Elle peut survenir suite à une chute, un traumatisme, un syndrome de stress, ou un choc émotionnel. Elle est fréquente chez les femmes enceintes à cause du ventre qui tire vers l’avant. La chiropraxie permet de soulager la douleur en libérant le nerf a son origine (vertébrale), ou sur son trajet (costo-vertébral) et en réduisant les contractures du diaphragme et des muscles intercostaux.
La cervicalgie est une douleur « algie » localisée à la nuque « cervical ». Le torticolis est un spasme douloureux des muscles du cou. Il occasionne souvent une position antalgique, le cou est incliné sur le coté, les mouvements de la tête sont limitées.
Une subluxation vertébrale ou une atteinte discale est la plupart du temps à l’origine du dysfonctionnement nerveux et du spasme musculaire. La correction douce des subluxations associée à un travail crânien et à une libération des mâchoires permet un soulagement rapide.
Attention, si la cause est traumatique (coup du lapin, choc violent…), des examens complémentaires (radio, IRM…) seront systématiquement demandés. Les cervicalgies chroniques sont le plus souvent d’origine neuro-musculo-squelettiques.
Elles traduisent un manque d’adaptation des articulations cervicales a des contraintes physiques (position de sommeil ou de travail inadaptée, choc, chute…) ou émotionnelles (syndrome de stress, traumatisme psychique, dépression…). Des blocages cervicaux vont se former, limitant la mobilité du cou et occasionnant des douleurs.
A moyen terme, la cervicalgie peut être la cause de vertiges, maux de têtes, douleurs d’épaule ou de bras. Sur un plus long terme, l’enraidissement de la colonne cervicale peut mener à une arthrose prématurée. La chiropraxie dénoue les blocages cervicaux et leurs compensations au niveau du crâne, des mâchoires ou des épaules.
Au niveau des basses cervicales (partie basse du cou) émerge un réseau de nerfs appelé Plexus brachial. Ces nerfs, peuvent, s’ils sont irrités ou comprimés, occasionner de vives douleurs, des fourmillements et/ou une perte de sensibilité dans tout le bras jusqu’à la main sur un trajet précis répondant à la racine nerveuse impliquée. Si la névralgie est ancienne, elle peut occasionner un affaiblissement de certains muscles du bras. La libération des blocages du cou associée à un travail musculaire et crânien permettent de libérer la racine nerveuse impliquée.
Il s’agit de maux de têtes non pulsatiles (pas de battements) d’intensité variable. La douleur est ressentie à l’arrière du crâne, au niveau des sourcils, ou sur les deux cotés de la tête. Elle survient souvent en fin de journée et peut être accompagnée d’une limitation des mouvements du cou. Les céphalées de tension trouvent leur source dans un dysfonctionnement des articulations cervicales.
L’irritation nerveuse, issue de ce dysfonctionnement, provoque des tensions musculaires au niveau des mâchoires, du visage et du cou. Ces céphalées représentent environ 90% des cas de maux de têtes et peuvent être résolus par les soins chiropratiques. L’ajustement vertébral, le relâchement des mâchoires et les techniques crâniennes améliorent la mobilité du cou, dissipent l’irritation nerveuse et détendent les muscles impliqués.
Il s’agit d’une irritation ou compression du deuxième nerf cervical entre la première et la deuxième vertèbre cervicale. La douleur est intense, à type de brulure et ressentie sur un coté de la tête, en arc de cercle, parfois jusqu’à l’œil. Une amélioration de la mécanique des hautes cervicales permettra de libérer le nerf et de soulager la douleur.
La migraine se caractérise par des crises de douleurs violentes qui durent entre quatre et soixante dix heures. Les crises peuvent être précédées ou non de troubles visuels (vision flou, papillons devant les yeux…)
La douleur migraineuse débute d’un coté de la tête et peut éventuellement gagner tout le crâne. La migraine est souvent amplifiée par la lumière et le bruit. Elle peut être associée à des nausées ou à des vomissements.
La migraine se définit par plusieurs mécanismes physiologiques :
- des déséquilibres fonctionnels vasculaires (dilatation des artères extra ou intracrâniennes)
- des déséquilibres nerveux (moteurs et sensitifs)
Certains facteurs peuvent déclencher ou aggraver la migraine :
- l’alcool (le vin blanc en particulier)
- les changements hormonaux (avant ou après les règles)
- le stress
Les causes sont diverses et souvent multifactorielles :
- perte de mobilité au niveau de la première et deuxième vertèbre cervicale (C1, C2) qui aboutira à un fonctionnement vasculaire anormal.
- terrain inflammatoire lié à un syndrome du colon irritable
- foie toxique (alcool, médicaments…)
- …
La chiropraxie libère les hautes cervicales, les mâchoires et la mobilité crânienne. Elle peut aussi agir sur le système digestif et sur les glandes surrénales par le biais du système neveux autonome, d’une approche viscérale et nutritionnelle.
Le disque est constitué de deux parties : le noyau gélatineux, qui est entouré par l’anneau fibreux. Une protrusion discale est une poussée du noyau dans les fibres de l’anneau fibreux. Une hernie discale survient si le noyau gélatineux traverse complètement les fibres de l’anneau fibreux.
L’atteinte discale peut être liée à un traumatisme violent, comme à des contraintes posturales répétées. Le disque perd, alors sa fonction d’absorption des chocs et les mouvements sont très douloureux. La protrusion ou la hernie peuvent affecter l’orifice par lequel le nerf émerge de la colonne vertébrale occasionnant ainsi des douleurs névralgiques (sciatique, cruralgie, névralgie cervico brachiale…).
L’approche chiropratique vise à éliminer les risques de dommage du disque. Des anomalies du mouvement normal de certaines vertèbres, appelées subluxations vertébrales, causent des stress sur les fibres du disque. La chiropraxie prévient l’apparition de lésions discales en réduisant les subluxations. Néanmoins dans de rares cas de hernie volumineuse et mal placée occasionnant des déficit neurologiques irréversibles (environ 8%), la chirurgie reste inévitable.
Dans les autres cas, la chiropraxie est en mesure de soulager les symptômes dus à la hernie discale en restaurant la mobilité articulaire et en diminuant la pression sur le nerf.
En gagnant de l’âge, les articulations s’usent de manière inévitable, mais à une allure différente selon chacun. L’arthrose est une dégénérescence du cartilage articulaire. Les premiers signes radiologiques apparaissent généralement autour de la quarantaine ou plus précocement sur des articulations ayant subit un traumatisme (ex. : les cervicales peuvent s’arthroser précocement, 5 ans après un accident de voiture).
Les microtraumatismes répétés, fautes posturales ou certains traumatismes émotionnels peuvent aussi favoriser une apparition précoce de l’arthrose, notamment au niveau des cervicales. La chiropraxie s’inscrit dans une action préventive en libérant les blocages sur chaque articulation, favorisant ainsi la sécrétion de liquide synovial. Ce liquide nourrit le cartilage (ex. : ajuster la hanche et le bassin permet de retarder l’opération d’une coxarthrose !).
L’arthrose, en soi n’est pas douloureuse, c’est la raideur qu’elle entraine qui le devient ! Les soins chiropractiques, par leur capacité à améliorer le fonctionnement des articulations, réduisent fortement les douleurs et l’impotence fonctionnelle associées à l’arthrose.
Les tendons sont constitués de tissus fibreux. Ils se situent à l’extrémité du muscle et relient le muscle à l’os. Une tendinite est une inflammation du tendon, causée par un mouvement traumatique, une sur-utilisation répétée du muscle, une faute posturale mettant le muscle en tension. Un déséquilibre acido-basique, la consommation de certains médicaments, le manque d’hydratation créent un terrain favorable à l’apparition d’une tendinite.
La douleur est localisée sur un point précis et exacerbée par l’activité du muscle. Les zones de prédilection de la tendinite sont les épaules, les coudes, les poignets et la cheville, mais si elle peut en théorie toucher n’importe quel muscle. L’articulation liée au tendon, montre souvent des signes de raideur.
Ainsi pour une simple tendinite, le repos sans immobilisation associé à l’application de glace permet au tendon de récupérer rapidement. Si ce n’est pas le cas, la tendinite s’auto-entretient par un porte-à-faux, lié a des blocages neuro-articulaires. La chiropraxie va résoudre ses blocages, et permettre au tendon de récupérer rapidement.
Dans le cas contraire la tendinite peut se transformer en tendinose (affection chronique du tendon) et prédisposer le tendon à la rupture. Par exemple, une dysfonction vertébrale irritant le cinquième nerf du cou (C5) pourrait entraîner une hypertonie du muscle deltoïde et provoquer une élévation anormale de la tête de l’humérus ce qui occasionnera une friction constante sur le tendon du sus-épineux.
La chiropraxie est particulièrement efficace dans le traitement des tendinites et tendinoses reliées à des dysfonctions neuro articulaires. Le fait de boire de l’eau, d’appliquer des cataplasmes d’argile, ou de masser avec certaines huiles essentielles permet de récupérer plus rapidement. irritable.
Il s’agit d’un syndrome chronique associant des douleurs ou crampes abdominales, des ballonnements, des flatulences (gaz), des diarrhées et/ou constipation. Aucune pathologie intestinale n’est retrouvée. Ces symptômes peuvent être associés avec des maux de tête et/ou un état dépressif. Cette affection concerne environ 10% de la population mondiale et touche en particulier les femmes entre 25 et 45 ans.
Elle serait liée :
- à un déséquilibre de la flore intestinale (lié à la prise répétée d’antibiotiques ou d’anti-inflammatoires, à des stress accumulés, à des perturbateurs endocriniens…)
- à une perturbation du système nerveux autonome (troubles du péristaltisme…)
Le chiropracteur libère les tensions du système nerveux autonome, agit sur la sphère digestive (technique viscérale, en particulier au niveau des valves intestinales…), aide la flore intestinale a se reconstituer (approche nutritionnelle)
Des brulures de la gorge ou de l'œsophage (derrière le sternum), des régurgitations, une mauvaise haleine ou des difficultés respiratoires à la suite d'un repas sont les signes d'une condition appelée hernie hiatale. Elle touche 15 à 20 % de la population.
La hernie hiatale est le glissement d’une partie de l’estomac dans le thorax. L’abdomen et le thorax sont séparés le diaphragme, qui est le principal muscle respiratoire. L’œsophage, lorsqu’il rejoint l’estomac passe par un petit trou appelé « hiatus » au travers du diaphragme. Si la partie supérieure de l’estomac remonte par le hiatus et se retrouve dans le thorax ou dans le diaphragme, on parle de hernie hiatale. Une surcharge pondérale, une grossesse, une colopathie, une contracture du diaphragme liée au stress sont des facteurs qui augmentent la pression abdominale, et favorisent l’apparition d’une hernie hiatale.
Le reflux gastro œsophagien est une remontée du bol alimentaire de l’estomac vers l’œsophage. L’acidité de l’estomac irrite la muqueuse œsophagienne et provoque des brûlures, une toux, des douleurs à la déglutition ou une douleur d’estomac…
Le traitement chiropratique repose sur :
- une libération du nerf phrénique (responsable de la contraction du diaphragme) au niveau des basses cervicales.
- une libération du nerf vague (nerf crânien responsable de l’ouverture des valves situées entre l’œsophage et l’estomac)
- une détente du diaphragme
- une manipulation spécifique de l’estomac.
Quelque soit le/ les motif(s) de consultation, Le chiropracteur regarde le corps dans son entier et traite le patient dans sa globalité ! Il traite les tensions responsables de symptômes ou douleurs, mais aussi les blocages restés silencieux.